Tour de Moselle - Et. 4 : Les réactions
Crédit photo Hervé Dancerelle - DirectVelo
Léo Bouvier (SCO Dijon-Team Matériel-vélo.com) a remporté, ce dimanche, la quatrième et dernière étape du Tour de Moselle (Elite Nationale), disputée sur 173,2 kilomètres entre Lindre et Thionville. Il a devancé son coéquipier Jérémy Cabot et Théry Schir (Team Hörmann). Retrouvez, ci-dessous, les réactions recueillies par DirectVelo à l'issue de l'étape. Aller à la réaction de : Vainqueur du classement général « L'équipe était très forte. Les gars ont très bien fait le travail. Je n'avais pas peur des échappés. Après cent kilomètres, ils n'étaient plus que deux à l'avant. Je savais qu'ils n'iraient pas au bout. Je suis content qu'il y ait eu un sprint parce que ça m'a permis de remporter le classement général. C'est magnifique. J'ai remporté trois étapes donc je suis content. » Meilleur grimpeur «Après ma deuxième place lors de la première étape, je visais le classement général. Malheureusement, j'ai été piégé dans les bordures hier (samedi) alors que j'étais bien placé. J'étais dans la roue des coureurs de Chambéry CF, mais ils ont laissé un trou. Personne n'a compris ce qu'il s'était passé. Je savais que je pouvais tirer une croix sur le classement général après ça. J'ai donc défendu mon maillot à pois. J'ai été très actif. Je pense que mon Tour de Moselle est réussi même si je n'ai pas trop aimé le parcours. On m'avait dit que c'était vallonné, mais j'ai trouvé que c'était tout le temps plat avec beaucoup de vent. La course s'est plutôt jouée dans les bordures. Je suis quand même satisfait de mes sensations. » Échappé « C'était une dure journée à l'avant. C'était long. On avait prévu au briefing de mettre quelqu'un à l'avant. Ce n'est devait pas forcément être moi, mais j'ai réussi à sentir le coup et je me suis retrouvé devant. Les autres avaient fait pas mal d'efforts. Une fois devant, c'était full gaz toute la journée. On s'est retrouvé à deux avec Adrien Guillonnet après un Grand Prix de la Montagne. On ne s'est pas regardé. Il était vraiment très fort et prenait l'essentiel des relais. J'aidais au mieux. On a essayé de tenir tête au peloton, mais on s'est fait reprendre à moins d'un kilomètre du sommet du dernier Grand Prix de la Montagne. Je pense, lui comme moi, que l'on n'avait plus d'essence dans le moteur. C'était quand même une belle journée. Il y a de quoi être satisfait. Il y avait des coureurs qui se préparaient pour le mondial. Je vois que j'ai pris de la force et que j'ai bien récupéré de mon Tour de l'Avenir. »Réactions
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