Triptyque Ardennais - Et. 2 : Les réactions

Jeroen Hoorne (WC Soenens-Jartazi) s'est imposé dans la deuxième étape du Triptyque Ardennais qui reliait Monschau (Allemagne) et le sommet de la côte de Frikandelle à Eupen. Il devance de quelques centimètres Edwig Cammaerts (Lotto-Bodysol-PCW) et Julien Vermote (Beveren 2000). Le maillot jaune change d'épaules et se pose sur celles de Laurens De Vreese (Beveren 2000). Retrouvez ci-dessous les réactions des protagonistes de l'étape.

Jeroen Hoorne (WC Soenens-Jartazi)
Vainqueur de l'étape
« La fin de course était incroyable. J'observais les autres et au fur et à mesure de la montée, je pouvais toujours les suivre. Dans les derniers mètres, j'ai encore suivi Cammaerts, puis je l'ai dépasser sur le fil. Ce matin, je 'avais pas pensé à un tel résultat. C'est assurément ma plus belle victoire. Une course vraiment dure. J'ai terminé à une bonne position hier et l'équipe m'a bien protégé. D'ailleurs, je les remercie. Pour le suite du Triptyque, on verra bien. Je suis toujours à une trentaine de secondes du leader. »

Edwig Cammaerts (Lotto-Bodysol-PCW)
2e
« Vraiment dommage! Mon objectif avant le Triptyque était la victoire d'étape. Ici, il m'a manqué quelques centimètres pour m'imposer. Plus tôt, j'avais déjà tenté de m'extirper du groupe de tête pour aller chercher la victoire mais sans succès. Je me sentais bien même si sur la fin, j'étais un peu cuit. Selon moi, l'étape d'aujourd'hui était moins dur que celle d'hier. Concernant les deux étapes de demain, l'étape du matin consistera à rester calme le plus longtemps possible tandis que l'après-midi, je tenterai de tout donner pour le général. »

Julien Vermote (Beveren 2000)
3e
« Je suis content de ma prestation. Je ne pouvais pas espérer plus qu'une troisième place. Les autres avaient plus de punch que moi dans le sprint. Aujourd'hui, j'ai roulé pour Laurens. Je le ferai encore dans les deux dernières étapes de demain. »

Laurens De Vreese (Beveren 2000)
Nouveau leader du général
« Je dois remercier mon équipe qui a montré qu'elle était très solide. L'année passée chez Profel, je n'aurais jamais réussi à rester dans la course au général. La tactique, aujourd'hui, consistait en une course d'attente jusqu'aux circuits locaux où là, nous devions tenter quelque chose. Demain, nous devrons clairement nous attendre à des attaques. Je tenterai tout de même d'empocher le général, l'objectif que je m'étais fixé. »

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