Vendée U : « Personne n'osait attaquer »
Crédit photo DirectVelo
La paire du Vendée U Florian Maître-Thomas Denis a remporté la finale de l'Américaine de la manche piste de la Coupe de France DN1, disputée ce mercredi à Saint-Quentin-en-Yvelines. Retrouvez la réaction des rouge-et-blanc, recueillie par DirectVelo.
DirectVelo : Comment avez-vous géré cette fin de journée ?
Florian Maître : On savait que l'on était bien. Avec la course aux points et le scratch dans les jambes, on savait que ça allait être dur, d'autant que les formats étaient un peu mélangés. Dans le nouveau format, c'est 160 tours et un classement tous les dix tours soit 16 classements. Avant, c'était 200 tours et un sprint tous les 20 tours. Pour la manche nous avons eu droit à 200 tours et 20 classements. Du coup, ça a fait un peu peur à toutes les équipes, personne n'osait attaquer et ça s'est joué sur les sprints. On a raté 2-3 classements d'affilée, où on n'a pas marqué de point, mais nous avons réussi à reprendre nos bases avec Thomas (Denis), comme on pratique souvent cette discipline ensemble. Et grâce à la technique, on est arrivé plus frais sur le final. C'est ce qui nous a permis de sortir.
Quel sentiment gardez-vous de cette journée de piste ?
Thomas Denis : Nous sommes très satisfaits de l'Américaine. Pour nous, c'était un peu une reprise, et un entraînement pour les Championnats de France. On a retrouvé nos repères assez tard dans la course. Une fois qu'on les a retrouvés, on s'est mis à gagner des classements, on a même pris un tour. De mon côté, je pense que j'ai voulu un peu trop en faire sur le scratch. J'ai voulu un peu cadenasser la course car je pensais être bien au sprint, mais au final, j'en ai trop fait. Cela m'a servi de leçon pour l'Américaine.
« L'HABITUDE DE CET ENVIRONNEMENT »
La technique a donc joué un rôle important sur cette Américaine...
Florian Maître : Exactement. On n'a raté aucun relais, on a été propre, toujours bien placé... Donc forcément, sur une Américaine, après une grosse journée comme aujourd'hui, ça a beaucoup joué.
Comment finissez-vous la journée ?
Thomas Denis : Je pense être moins fatigué que ceux qui ont fait la course aux points, mais fatigué quand même ! Tout le monde a pas mal puisé dans les réserves, mais pour nous ce n'était pas forcément un désavantage, car nous avons l'habitude de cet environnent.
DirectVelo : Comment avez-vous géré cette fin de journée ?
Florian Maître : On savait que l'on était bien. Avec la course aux points et le scratch dans les jambes, on savait que ça allait être dur, d'autant que les formats étaient un peu mélangés. Dans le nouveau format, c'est 160 tours et un classement tous les dix tours soit 16 classements. Avant, c'était 200 tours et un sprint tous les 20 tours. Pour la manche nous avons eu droit à 200 tours et 20 classements. Du coup, ça a fait un peu peur à toutes les équipes, personne n'osait attaquer et ça s'est joué sur les sprints. On a raté 2-3 classements d'affilée, où on n'a pas marqué de point, mais nous avons réussi à reprendre nos bases avec Thomas (Denis), comme on pratique souvent cette discipline ensemble. Et grâce à la technique, on est arrivé plus frais sur le final. C'est ce qui nous a permis de sortir.
Quel sentiment gardez-vous de cette journée de piste ?
Thomas Denis : Nous sommes très satisfaits de l'Américaine. Pour nous, c'était un peu une reprise, et un entraînement pour les Championnats de France. On a retrouvé nos repères assez tard dans la course. Une fois qu'on les a retrouvés, on s'est mis à gagner des classements, on a même pris un tour. De mon côté, je pense que j'ai voulu un peu trop en faire sur le scratch. J'ai voulu un peu cadenasser la course car je pensais être bien au sprint, mais au final, j'en ai trop fait. Cela m'a servi de leçon pour l'Américaine.
« L'HABITUDE DE CET ENVIRONNEMENT »
La technique a donc joué un rôle important sur cette Américaine...
Florian Maître : Exactement. On n'a raté aucun relais, on a été propre, toujours bien placé... Donc forcément, sur une Américaine, après une grosse journée comme aujourd'hui, ça a beaucoup joué.
Comment finissez-vous la journée ?
Thomas Denis : Je pense être moins fatigué que ceux qui ont fait la course aux points, mais fatigué quand même ! Tout le monde a pas mal puisé dans les réserves, mais pour nous ce n'était pas forcément un désavantage, car nous avons l'habitude de cet environnent.
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