Clément Saint-Martin n'a pas dit son dernier mot
Crédit photo Zoé Soullard - DirectVelo
Il l’avait annoncé au mois de mars (lire ici), Clément Saint-Martin voulait être "à l’attaque sur toutes les courses". Il aura tenu parole mis à part au mois de juillet suite à une chute pendant l'Etoile d'Or (lire ici). "J’ai été régulier mais il me manque une belle Elite. Je ne suis pas passé loin ce week-end à Chasseneuil mais Samuel Plouhinec était plus fort (le classement). J’ai l’impression d’avoir surfé sur mes deux saisons pros", déclare-t-il à DirectVelo.
« JE N’ETAIS PAS FACILE A VIVRE »
Car si le coureur de l’Océane Top 16, dix podiums et deux victoires en 2016, a retrouvé "du plaisir" sur son vélo, il est aussi passé par une période plus difficile. "J’ai mis du temps à digérer d’être reparti chez les amateurs après mes deux saisons à Delko Marseille-Provence KTM. On a crevé l’abcès avec le club et mes proches fin mai. Jusqu’à là, on va dire que je n’étais pas facile à vivre".
Au début de la saison, Clément Saint-Martin partait dans l’optique de repasser professionnel. Deuxième d’une étape sur le Critérium International en 2015, le puncheur pense toujours à un retour dans l’Elite française. "Ça reste mon ambition. Je n’ai pas dit mon dernier mot ! Même si j’espère toujours avoir une bonne nouvelle en fin d’année, je vise plus 2018".
« NE PAS AVOIR DE REGRET LA SAISON PROCHAINE »
Troisième de la SportBreizh au mois de juin, Clément Saint-Martin revient à un très bon niveau en fin de saison. Un apéritif avant un hiver qui s’annonce studieux. "Maintenant je fais du vélo pour moi et je ne veux pas avoir de regret à la fin de la saison 2017. Et puis quoi qu’il arrive je serai encore sur un vélo quelques saisons… Pas jusqu’à trente ans non plus !", prévient-il.
"Le problème c’est qu’à 25 ans dans le vélo on a l’impression d’être un vieux. Moi ça ne fait que cinq ou six saisons que je fais de la route à temps plein et j’ai encore envie d’aller m’entraîner et de courir", annonce celui qui continuera à l’Océane Top 16 s’il restait dans le peloton amateur la saison prochaine. "Je me sens bien ici. L’ambiance est super et ce qui est important pour moi c’est le projet pro. Le club nous donne la possibilité d’en avoir un. C’est rassurant d’avoir une idée de ce que l’on veut faire et de ce que l’on pourrait faire dans les prochaines années".
« JE N’ETAIS PAS FACILE A VIVRE »
Car si le coureur de l’Océane Top 16, dix podiums et deux victoires en 2016, a retrouvé "du plaisir" sur son vélo, il est aussi passé par une période plus difficile. "J’ai mis du temps à digérer d’être reparti chez les amateurs après mes deux saisons à Delko Marseille-Provence KTM. On a crevé l’abcès avec le club et mes proches fin mai. Jusqu’à là, on va dire que je n’étais pas facile à vivre".
Au début de la saison, Clément Saint-Martin partait dans l’optique de repasser professionnel. Deuxième d’une étape sur le Critérium International en 2015, le puncheur pense toujours à un retour dans l’Elite française. "Ça reste mon ambition. Je n’ai pas dit mon dernier mot ! Même si j’espère toujours avoir une bonne nouvelle en fin d’année, je vise plus 2018".
« NE PAS AVOIR DE REGRET LA SAISON PROCHAINE »
Troisième de la SportBreizh au mois de juin, Clément Saint-Martin revient à un très bon niveau en fin de saison. Un apéritif avant un hiver qui s’annonce studieux. "Maintenant je fais du vélo pour moi et je ne veux pas avoir de regret à la fin de la saison 2017. Et puis quoi qu’il arrive je serai encore sur un vélo quelques saisons… Pas jusqu’à trente ans non plus !", prévient-il.
"Le problème c’est qu’à 25 ans dans le vélo on a l’impression d’être un vieux. Moi ça ne fait que cinq ou six saisons que je fais de la route à temps plein et j’ai encore envie d’aller m’entraîner et de courir", annonce celui qui continuera à l’Océane Top 16 s’il restait dans le peloton amateur la saison prochaine. "Je me sens bien ici. L’ambiance est super et ce qui est important pour moi c’est le projet pro. Le club nous donne la possibilité d’en avoir un. C’est rassurant d’avoir une idée de ce que l’on veut faire et de ce que l’on pourrait faire dans les prochaines années".
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