En gestation depuis plusieurs années, un nouveau mouvement va voir le jour avant le départ du Tour de France pour tenter d'apporter des solutions pour la sécurité des courses cyclistes, baptisé le SAROC (pour SAfe ROad Cycling), annonce l'Algemeen Dagblad.

L'idée de ce mouvement est née après la grave chute de Fabio Jakobsen au Tour de Pologne 2020, donc bien avant la chute mortelle de Gino Mäder au Tour de Suisse. Le projet était porté à ses débuts par Quick Step, Jumbo-Visma, l'actuelle DSM et Ineos, et a reçu le soutien de David Lappartient, Président de l'UCI, selon le quotidien. Du côté des organisateurs, Flanders Classics (qui n'organise pas de courses par étapes) fait aussi partie du mouvement. Les équipes, les organisateurs et l'UCI financeront ce nouvel organe.

En revanche, parmi les parties prenantes de ce SAROC, le CPA, le syndicat des coureurs, n'est pas cité. Autres absents, les constructeurs et les accessoiristes de cycles et le sujet des performances aérodynamiques des vélos.