Yann Guyot : « La galère est terminée »
Crédit photo Kim Caritoux
Après une deuxième opération de l’artère iliaque en fin de saison dernière (lire ici), Yann Guyot retrouve petit à petit la plénitude de ses moyens. "J'ai des jambes toutes neuves", sourit-il. Le coureur de l’Armée de Terre s’est retrouvé sur les 4 Jours de Dunkerque avec une 15e place au classement général. "C’était un soulagement. Je suis vraiment content d’avoir pu faire la course en ayant de bonnes sensations. Ça faisait un moment que ça ne m’était pas arrivé", avoue-t-il à DirectVelo.
« LES 4 JOURS DE DUNKERQUE : UN SOULAGEMENT »
Déjà la saison dernière, le Champion de France Amateur 2014 ne s’était jamais senti à 100%. Depuis sa reprise, il était de mieux en mieux. Mais il ne parvenait pas à franchir le dernier cran qu’il lui manquait. "C’est beaucoup de travail et puis d’un coup le déclic sur une course. J’en avais besoin et même si ce n’est qu’une petite place, je me dis que la galère est terminée".
Après une dernière saison où il a survolé le peloton amateur : 17 victoires et 27 podiums. Yann Guyot a comme son équipe dû s’adapter au monde professionnel. "Le niveau est incomparable. On le savait mais personnellement, j’ai quand même été frustré de ne pas avoir confirmé. C’est ce qui a été le plus difficile à accepter. J’espère retrouver mes sensations de 2014. Dans ces moments, tu es en confiance, tu fais les bons choix. Quand la tête va bien, le reste suit".
« RETROUVER MES SENSATIONS DE 2014 »
Après Dunkerque, Yann Guyot a enchaîné avec le Tour de Picardie et le Grand Prix de la Somme. Deux épreuves qui ne lui correspondaient pas forcément mais où l’Armée doit aussi se faire une place. "J’ai travaillé pour les coureurs rapides. En ce moment, nous sommes dans une bonne spirale. On tente des choses, on a des résultats. C’est comme ça que nous gagnerions du respect dans le peloton".
Ce week-end, il sera sur les deux manches de la coupe de France PMU (GP Plumelec-Morbihan et Boucles de l’Aulne) avant d’enchaîner avec les Boucles de la Mayenne. "J’aimerais surfer sur la vague. Jusqu’à présent, j’avais toujours gagné une course fin mai, même l’année dernière. Un top 5 serait déjà très bien. Alors pourquoi pas un podium et une victoire ! Je suis gourmand mais ce sont quand même les victoires et les podiums qui nous procurent nos plus belles émotions, confie-t-il. C’est vrai que je suis exigeant avec moi-même, peut-être trop mais j’ai toujours fonctionné comme ça".
« LES 4 JOURS DE DUNKERQUE : UN SOULAGEMENT »
Déjà la saison dernière, le Champion de France Amateur 2014 ne s’était jamais senti à 100%. Depuis sa reprise, il était de mieux en mieux. Mais il ne parvenait pas à franchir le dernier cran qu’il lui manquait. "C’est beaucoup de travail et puis d’un coup le déclic sur une course. J’en avais besoin et même si ce n’est qu’une petite place, je me dis que la galère est terminée".
Après une dernière saison où il a survolé le peloton amateur : 17 victoires et 27 podiums. Yann Guyot a comme son équipe dû s’adapter au monde professionnel. "Le niveau est incomparable. On le savait mais personnellement, j’ai quand même été frustré de ne pas avoir confirmé. C’est ce qui a été le plus difficile à accepter. J’espère retrouver mes sensations de 2014. Dans ces moments, tu es en confiance, tu fais les bons choix. Quand la tête va bien, le reste suit".
« RETROUVER MES SENSATIONS DE 2014 »
Après Dunkerque, Yann Guyot a enchaîné avec le Tour de Picardie et le Grand Prix de la Somme. Deux épreuves qui ne lui correspondaient pas forcément mais où l’Armée doit aussi se faire une place. "J’ai travaillé pour les coureurs rapides. En ce moment, nous sommes dans une bonne spirale. On tente des choses, on a des résultats. C’est comme ça que nous gagnerions du respect dans le peloton".
Ce week-end, il sera sur les deux manches de la coupe de France PMU (GP Plumelec-Morbihan et Boucles de l’Aulne) avant d’enchaîner avec les Boucles de la Mayenne. "J’aimerais surfer sur la vague. Jusqu’à présent, j’avais toujours gagné une course fin mai, même l’année dernière. Un top 5 serait déjà très bien. Alors pourquoi pas un podium et une victoire ! Je suis gourmand mais ce sont quand même les victoires et les podiums qui nous procurent nos plus belles émotions, confie-t-il. C’est vrai que je suis exigeant avec moi-même, peut-être trop mais j’ai toujours fonctionné comme ça".