Robin Meyer a besoin de liberté
Crédit photo Morgane Bezannier
C’est une saison "globalement négative" qu’a connu Robin Meyer en 2017. Arrivé au Chambéry CF avec "beaucoup d’ambition", le Nîmois n’a jamais su atteindre l’état de forme qu’il espérait. "Les rares fois où ça allait un week-end, je le payais sur celui qui suivait", raconte celui qui ne pense pas s’être adapté au "schéma de l’équipe" savoyarde. "C’est très particulier. Il s’agit d’une structure cadrée voire scolaire, avec peu de liberté. Ça ne me convenait pas", estime le coureur de 21 ans qui, non conservé par la formation savoyarde, a finalement décidé de rejoindre l’AVC Aix-en-Provence pour 2018.
Déjà membre du groupe provençal en 2016, le Champion de PACA cette même année a rapidement accepté la proposition du club de le reprendre. "Le profil m’a beaucoup plu et je n’avais pas trop mal marché avec Aix lors de ma première saison Elite. C’est une assurance pour moi de retourner chez eux", s’enthousiasme-t-il auprès de DirectVelo.
RETOUR AUX BONNES VIEILLES HABITUDES
S’il n’a pas vécu l’année qu’il souhaitait en quittant son Gard natal pour la Savoie, Robin Meyer gardera toutefois quelques satisfactions de son passage à Chambéry. "Le collectif était vraiment fort, notamment sur des courses comme le Circuit des Monts du Livradois où l’on avait totalement maitrisé la course avec un doublé et ma sixième place", se souvient celui qui terminera par ailleurs 2e d’étape sur le Tour du Beaujolais. "De plus, aller vivre là-bas m’a permis de progresser en descente", rajoute-t-il, comblé également par la découverte du ski de fond l’hiver dernier. "Je ne regrette pas d’y être allé, c’était une opportunité et une belle expérience à vivre".
Depuis son retour à Nîmes, Robin Meyer a retrouvé ses habitudes. "Mes routes d’entrainement, mes amis … Tout cela m’avait manqué". Et s’il n’habite plus aussi près de la haute montagne, le massif des Cévennes reste une bonne option d’entrainement pour l’étudiant en deuxième année de licence de Biologie. "Je pourrai toujours aller me garer à proximité et me faire de belles sorties montagneuses", se réjouit-il par avance.
Déjà membre du groupe provençal en 2016, le Champion de PACA cette même année a rapidement accepté la proposition du club de le reprendre. "Le profil m’a beaucoup plu et je n’avais pas trop mal marché avec Aix lors de ma première saison Elite. C’est une assurance pour moi de retourner chez eux", s’enthousiasme-t-il auprès de DirectVelo.
RETOUR AUX BONNES VIEILLES HABITUDES
S’il n’a pas vécu l’année qu’il souhaitait en quittant son Gard natal pour la Savoie, Robin Meyer gardera toutefois quelques satisfactions de son passage à Chambéry. "Le collectif était vraiment fort, notamment sur des courses comme le Circuit des Monts du Livradois où l’on avait totalement maitrisé la course avec un doublé et ma sixième place", se souvient celui qui terminera par ailleurs 2e d’étape sur le Tour du Beaujolais. "De plus, aller vivre là-bas m’a permis de progresser en descente", rajoute-t-il, comblé également par la découverte du ski de fond l’hiver dernier. "Je ne regrette pas d’y être allé, c’était une opportunité et une belle expérience à vivre".
Depuis son retour à Nîmes, Robin Meyer a retrouvé ses habitudes. "Mes routes d’entrainement, mes amis … Tout cela m’avait manqué". Et s’il n’habite plus aussi près de la haute montagne, le massif des Cévennes reste une bonne option d’entrainement pour l’étudiant en deuxième année de licence de Biologie. "Je pourrai toujours aller me garer à proximité et me faire de belles sorties montagneuses", se réjouit-il par avance.
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