Classic Grand Besançon Doubs : Les réactions

José Manuel DIAZ GALLEGO

Burgos Burpellet BH

2e - notre photo -

« Je suis très heureux. Ce sont trois classiques que j'aime beaucoup. J'ai régulièrement terminé parmi les dix premiers durant ce week-end, mais je n'avais pas encore réussi sur cette course-là. C'est une meilleure façon encore d'aborder les deux autres.

Guillaume Martin a commencé à monter de manière très explosive, il a appuyé fort. Il était impossible de le suivre. Clément Berthet s'est ensuite élancé à environ deux kilomètres de l'arrivée. J'ai commencé mon effort, j'ai pu le chasser, puis le rattraper. Nous étions tous les deux ensemble jusqu'à 150 mètres de la ligne d'arrivée, et nous sommes arrivés tous très près les uns des autres. Mais au final Guillaume Martin était impossible à rattraper.

Après avoir commencé les trois classiques mieux que jamais, mon objectif est désormais de gagner l'une des courses. J'espère être dans le final demain déjà. Au final ce sont trois classiques très dures. C'est un mélange de courses de haute montagne et de classiques typiquement françaises avec du rythme. Je pense donc que ça me convient très bien. Après je serai de retour au pays et je commencerai à me reposer petit à petit en préparation de la Vuelta. »

J. DIAZ GALLEGO

Jordan JEGAT

TotalEnergies

4e

« Je suis forcément déçu. L'équipe a fait un très gros travail. Le travail de Mattéo (Vercher) était parfait. Quand Guillaume (Martin-Guyonnet) attaque, j'y vais. Mais j'ai toujours un peu de mal en début d’ascension. J’ai coincé. L’année dernière, j’avais attaqué sur le plat, mais ça n’avait pas fonctionné. Là, je me suis dit que j’allais attendre pour faire mon effort. J'ai quand même réussi à finir fort, mais je suis déçu. J'avais de bonnes jambes, je ne sais pas… C'était une situation bizarre… C’est étonnant après le Tour du Pays Basque ».

J. JEGAT