Amandine Fouquenet : « Il faut relativiser »

Crédit photo Hervé Dancerelle - DirectVelo

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Tout au long de la course, ce samedi lors de la neuvième manche de Coupe du Monde à Anvers, Amandine Fouquenet a alterné entre la 19e et la 20e position. “Ça fait un peu chier de terminer 20e (voir classement), alors que je jouais le Top 10 le week-end dernier. Mais il faut relativiser, j’ai effectué deux bonnes semaines de travail. Je sens un peu de fatigue mais c’est normal, c’est ce qu’on recherche pour préparer des objectifs“, reconnaît au micro de DirectVelo la sociétaire d’Arkéa Pro Cycling.

Il y a six jours à Namur, l’athlète de 22 ans avait été victime d’un ennui mécanique. “J’ai cassé mon dérailleur. C’est dommage car je revenais dans le groupe d’Hélène (Clauzel) pour la 10e place voire mieux. Vu mon gabarit, on peut se dire qu’un circuit roulant me convient, mais je suis aussi bien sur des parcours difficiles dans la boue“. Quant au sable présent ce jour à Anvers, elle s’y sent plus à l’aise que par le passé. “Je me débrouille un peu mieux. J’ai compris la technique pour rouler dessus, j’ai appris de mes erreurs. Avant, j’y allais en force et maintenant, j’ai compris qu’il fallait plus tourner les jambes“.

Son prochain rendez-vous est ce mardi à Gavere où elle souhaite intégrer le Top 15 pour la deuxième fois cette saison en Coupe du Monde après s’être classée 10e à Flamanville, début décembre. “J’espérais plus régulièrement des Top 15. Il ne faut pas rester sur de mauvaises notes“. Après Gavere, Amandine Fouquenet pourra souffler. “Je vais un peu me reposer à la maison. Je retournerai au travail à Gullegem (le 6 janvier, NDLR).

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