Un mois sans sport pour Hadrien Degrandcourt
Crédit photo Zoé Soullard - DirectVelo
Au moment où les coureurs ont pris le départ de la première étape de la Ronde de l'Isard (2.2U) ce jeudi midi, Hadrien Degrandcourt quittait lui un hôpital grenoblois. "Tout est parti d'une petite angine. J'ai roulé samedi dernier, pendant 4h45, avec Julien Souton. Ça allait plutôt bien mais le lendemain, j'ai eu une grosse gastro. J'étais plié en deux", rapporte-t-il à DirectVelo.
Le coureur du SCO Dijon prend alors son téléphone mais aucun médecin n'a pu se déplacer pour venir l’ausculter. "C'était dimanche après-midi... J'ai dû attendre qu'un oncle vienne me chercher pour m'emmener aux urgences", indique le Bourguignon qui vit dans la région grenobloise.
Un médecin lui apprend qu'il souffre d'un virus lié à l'angine et à la gastro-entérite. "Il m'a dit que ça irait. Mais je ne suis pas rentré chez moi car il était tard. Ils m'ont fait passer un scope pour vérifier le fonctionnement du cœur. Le taux d'enzymes cardiaques était elevé (Il souffre d'une myopéricardite, NDLR). Ce qui signifie que le cœur était touché par le virus". Il a été transféré lundi en soins intensifs, avant donc d'être libéré ce jeudi midi.
« JE NE ME FAIS PAS D'ILLUSIONS »
Il doit respecter une période de repos complet d'un mois. Il ne peut ainsi pas aller à l'IUT à vélo. "Le muscle du cœur est un peu enflammé. Ça peut s'aggraver donc je ne dois faire aucun effort", dit-il.
Hadrien Degrandcourt passera une échographie dans un mois. "Je demanderai à plusieurs médecins le protocole à respecter. Mais ça m'étonnerait que je puisse passer de rien du tout à des intensités à l'entraînement... Je ne me fais pas trop d'illusions".
L'Espoir 2e année doit ainsi faire une croix sur la Ronde de l'Isard, le Tour du Loiret, le Tour de Savoie Mont-Blanc ou encore le Tour de Côte d'Or. "Je vais prendre mon mal en patience. Je suis content de savoir ce que j'ai car ça aurait pu s'aggraver et laisser des séquelles. Là, j'ai 95 % de chances de ne pas être gêné plus tard", fait-il savoir.
Le coureur du SCO Dijon prend alors son téléphone mais aucun médecin n'a pu se déplacer pour venir l’ausculter. "C'était dimanche après-midi... J'ai dû attendre qu'un oncle vienne me chercher pour m'emmener aux urgences", indique le Bourguignon qui vit dans la région grenobloise.
Un médecin lui apprend qu'il souffre d'un virus lié à l'angine et à la gastro-entérite. "Il m'a dit que ça irait. Mais je ne suis pas rentré chez moi car il était tard. Ils m'ont fait passer un scope pour vérifier le fonctionnement du cœur. Le taux d'enzymes cardiaques était elevé (Il souffre d'une myopéricardite, NDLR). Ce qui signifie que le cœur était touché par le virus". Il a été transféré lundi en soins intensifs, avant donc d'être libéré ce jeudi midi.
« JE NE ME FAIS PAS D'ILLUSIONS »
Il doit respecter une période de repos complet d'un mois. Il ne peut ainsi pas aller à l'IUT à vélo. "Le muscle du cœur est un peu enflammé. Ça peut s'aggraver donc je ne dois faire aucun effort", dit-il.
Hadrien Degrandcourt passera une échographie dans un mois. "Je demanderai à plusieurs médecins le protocole à respecter. Mais ça m'étonnerait que je puisse passer de rien du tout à des intensités à l'entraînement... Je ne me fais pas trop d'illusions".
L'Espoir 2e année doit ainsi faire une croix sur la Ronde de l'Isard, le Tour du Loiret, le Tour de Savoie Mont-Blanc ou encore le Tour de Côte d'Or. "Je vais prendre mon mal en patience. Je suis content de savoir ce que j'ai car ça aurait pu s'aggraver et laisser des séquelles. Là, j'ai 95 % de chances de ne pas être gêné plus tard", fait-il savoir.
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