Flavien Maurelet : « Un effort de pur puncheur »
Crédit photo Freddy Guérin / DirectVelo
Flavien Maurelet (GSC Blagnac Vélo Sport 31) s'est imposé, ce samedi, lors de la 1ère étape du Tour de Gironde (2.2), disputée sur 203,3 kilomètres entre Saint-Emilion et Cenon. Il a devancé Mathieu Burgaudeau (Vendée U) et Pablo Torres (Burgos-BH). Retrouvez les impressions du premier leader de ce Tour de Gironde, recueillies par DirectVelo après l'arrivée.
DirectVelo : Comment as-tu vécu cette étape ?
Flavien Maurelet : Tout s'est plutôt bien passé aujourd'hui (samedi). L'échappée est sortie au bout de 20 kilomètres. Nous étions deux de Blagnac et un contre est rentré avant la mi-course. Les attaques ont commencé à vraiment se lancer au bout de 130 kilomètres et j'ai réussi à bien jouer le coup. On est sorti à dix-quinze coureurs, avec Olivier (Lecourt de Billot). J'ai tenté d'attaquer à un tour de l'arrivée, sans pour autant y mettre toutes mes forces.
Tout s'est joué dans les derniers instants finalement...
Olivier a roulé pour moi jusqu'aux 400 mètres pour revenir sur Gaboriaud. Je savais que l'arrivée me convenait car c'est un effort de pur puncheur comme je les aime. J'avais un peu peur de Burgaudeau et de Gaboriaud, mais j'ai réussi à les décrocher sur le dernier effort.
« PARFAIT POUR MOI »
Avais-tu prévu de partir si tôt ?
Sylvain Blanquefort nous avait dit qu'il fallait faire la course d'entrée de jeu, car il n'y avait pas beaucoup de coureurs au départ. Je pense que ça arrangeait tout le monde d'être devant donc ça nous a permis de progresser correctement. À l'arrière, ça a dû être une journée un peu longue, car il y avait tout de même 200 kilomètres. Je sais que je n'ai pas trop de problèmes avec les longues distances. En plus, je supporte plutôt bien la chaleur, donc aujourd'hui (samedi), avec les deux réunis, c'était parfait pour moi. L'an passé j'étais déjà venu ici sur un parcours similaire et ça m'avait bien plu. J'aime les circuits vallonnés et les arrivées pentues.
Avais-tu coché cette course dans ton calendrier ?
C'était un objectif que je m'étais fixé depuis longtemps. Je connais la course, cela fait plusieurs années que l'on vient ici et je savais que ça me correspondait. Je venais pour gagner et tout a marché dans mon sens. Je n'avais pas gagné depuis février, donc il me tardait de relever les bras. Et là sur une Classe 2, c'est encore mieux. Maintenant, on va essayer de garder le maillot. On en parlera ce soir au briefing, en ce qui concerne la façon de courir. Mais dans un premier temps, on va savourer la victoire d'aujourd'hui. Sur cette étape, c'était très ouvert car tout le monde avait plus ou moins carte blanche. À partir de demain ce sera différent, et nous allons tenter de contrôler la course, car nous sommes venus pour gagner.
DirectVelo : Comment as-tu vécu cette étape ?
Flavien Maurelet : Tout s'est plutôt bien passé aujourd'hui (samedi). L'échappée est sortie au bout de 20 kilomètres. Nous étions deux de Blagnac et un contre est rentré avant la mi-course. Les attaques ont commencé à vraiment se lancer au bout de 130 kilomètres et j'ai réussi à bien jouer le coup. On est sorti à dix-quinze coureurs, avec Olivier (Lecourt de Billot). J'ai tenté d'attaquer à un tour de l'arrivée, sans pour autant y mettre toutes mes forces.
Tout s'est joué dans les derniers instants finalement...
Olivier a roulé pour moi jusqu'aux 400 mètres pour revenir sur Gaboriaud. Je savais que l'arrivée me convenait car c'est un effort de pur puncheur comme je les aime. J'avais un peu peur de Burgaudeau et de Gaboriaud, mais j'ai réussi à les décrocher sur le dernier effort.
« PARFAIT POUR MOI »
Avais-tu prévu de partir si tôt ?
Sylvain Blanquefort nous avait dit qu'il fallait faire la course d'entrée de jeu, car il n'y avait pas beaucoup de coureurs au départ. Je pense que ça arrangeait tout le monde d'être devant donc ça nous a permis de progresser correctement. À l'arrière, ça a dû être une journée un peu longue, car il y avait tout de même 200 kilomètres. Je sais que je n'ai pas trop de problèmes avec les longues distances. En plus, je supporte plutôt bien la chaleur, donc aujourd'hui (samedi), avec les deux réunis, c'était parfait pour moi. L'an passé j'étais déjà venu ici sur un parcours similaire et ça m'avait bien plu. J'aime les circuits vallonnés et les arrivées pentues.
Avais-tu coché cette course dans ton calendrier ?
C'était un objectif que je m'étais fixé depuis longtemps. Je connais la course, cela fait plusieurs années que l'on vient ici et je savais que ça me correspondait. Je venais pour gagner et tout a marché dans mon sens. Je n'avais pas gagné depuis février, donc il me tardait de relever les bras. Et là sur une Classe 2, c'est encore mieux. Maintenant, on va essayer de garder le maillot. On en parlera ce soir au briefing, en ce qui concerne la façon de courir. Mais dans un premier temps, on va savourer la victoire d'aujourd'hui. Sur cette étape, c'était très ouvert car tout le monde avait plus ou moins carte blanche. À partir de demain ce sera différent, et nous allons tenter de contrôler la course, car nous sommes venus pour gagner.
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