Ann-Sofie Duyck, pour oublier les J.O
Crédit photo Maxime Segers / DirectVelo
Après des Jeux Olympiques difficiles conclus par une antépénultième place sur le contre-la-montre, Ann-Sofie Duyck abordera ce jeudi le deuxième grand rendez-vous de sa saison, le Championnat d'Europe du contre-la-montre. "Je veux montrer ma valeur réelle à Plumelec", déclare Ann-Sofie Duyck à Directvelo.
Les Jeux Olympiques de Rio ont donc tourné au cauchemar pour Ann-Sofie Duyck. La triple Championne de Belgique de l'épreuve contre la trotteuse a tiré les leçons de cet échec brésilien. "Je m'étais mis trop de pression. J'ambitionnais un Top 8. J'ai trop pensé au caractère exceptionnel de l'événement. La veille, j'étais nerveuse et j'ai mal dormi. Le Jour-J, j'ai directement senti que ça n'allait pas."
« EVITER LA PRESSION NEGATIVE »
Le concurrente de 29 ans a dans un premier temps effectué le vide dans sa tête avant de se concentrer de nouveau sur le cyclisme. "Avant les Jeux Olympiques, je n'acceptais aucune distraction extérieure. A mon retour de Belgique, j'ai évité de penser à la course. J'ai notamment passé du temps à m'occuper de de mes animaux domestiques ainsi que de mon poulailler. J'ai quand même fait tourner les jambes car tu ne peux pas te permettre de te reposer deux semaines car les Jeux et le Championnat d'Europe ne sont séparés d'un mois."
La pensionnaire de Topsport Vlaanderen-Baloise a donc fait le vide mentalement et veut quitter Plumelec avec une confiance retrouvée. "Je ne vise pas de résultat précis. Je veux éviter toute forme de pression négative. Je désire montrer ma valeur et que ma place se situe parmi les meilleures spécialistes européennes du chrono."
Elle estime que le parcours du chrono est plus abordable que celui de Nice. "J'avais regardé la vidéo du circuit de Nice pour le contre-la-montre. Ce n'était pas le même que pour l'épreuve en ligne. Il aurait convenu aux pures spécialistes. Le tracé de Plumelec sera quand même davantage des dernières épreuves chronométrées de Ponferrada, de Richmond et de Rio", conclut Ann-Sofie Duyck.
Les Jeux Olympiques de Rio ont donc tourné au cauchemar pour Ann-Sofie Duyck. La triple Championne de Belgique de l'épreuve contre la trotteuse a tiré les leçons de cet échec brésilien. "Je m'étais mis trop de pression. J'ambitionnais un Top 8. J'ai trop pensé au caractère exceptionnel de l'événement. La veille, j'étais nerveuse et j'ai mal dormi. Le Jour-J, j'ai directement senti que ça n'allait pas."
« EVITER LA PRESSION NEGATIVE »
Le concurrente de 29 ans a dans un premier temps effectué le vide dans sa tête avant de se concentrer de nouveau sur le cyclisme. "Avant les Jeux Olympiques, je n'acceptais aucune distraction extérieure. A mon retour de Belgique, j'ai évité de penser à la course. J'ai notamment passé du temps à m'occuper de de mes animaux domestiques ainsi que de mon poulailler. J'ai quand même fait tourner les jambes car tu ne peux pas te permettre de te reposer deux semaines car les Jeux et le Championnat d'Europe ne sont séparés d'un mois."
La pensionnaire de Topsport Vlaanderen-Baloise a donc fait le vide mentalement et veut quitter Plumelec avec une confiance retrouvée. "Je ne vise pas de résultat précis. Je veux éviter toute forme de pression négative. Je désire montrer ma valeur et que ma place se situe parmi les meilleures spécialistes européennes du chrono."
Elle estime que le parcours du chrono est plus abordable que celui de Nice. "J'avais regardé la vidéo du circuit de Nice pour le contre-la-montre. Ce n'était pas le même que pour l'épreuve en ligne. Il aurait convenu aux pures spécialistes. Le tracé de Plumelec sera quand même davantage des dernières épreuves chronométrées de Ponferrada, de Richmond et de Rio", conclut Ann-Sofie Duyck.