Une « grande aventure » avec Juliette Labous
Crédit photo Freddy Guérin - DirectVelo
Déjà sacrée jeudi sur le contre-la-montre - comme l'an passé -, Juliette Labous (Franche-Comté) s'est offert ce samedi le titre de Championne de France Juniors de la course en ligne. Un nouveau sacre obtenu sous l’œil de son entraîneur Matthieu Nadal. Il évoque pour DirectVelo sa protégée.
« Je connais Juliette depuis quatre ans. C'était à la fin de sa saison de Minime 2. Elle avait un an d'avance à l'école donc elle est rentrée au Pôle Espoirs de Besançon en étant Cadette 1ère année. Nous sommes un duo qui marche très bien... On se déteste autant qu'on s'apprécie ! C'est une grande aventure que nous vivons car elle est une grande championne. J'ai la chance de pouvoir la suivre au quotidien. Elle profite de l'expérience d'autres athlètes qui sont passées par le Pôle Espoirs comme Caroline Mani. Elle lui a apporté beaucoup, tout comme Julie Bresset.
« UN CAP DE FRANCHI »
Juliette a franchi un cap cette année. Elle a remporté la manche de la Coupe des Nations la plus difficile, en juin dernier, à Albstadt (Allemagne). Nous avons sorti les grands moyens pour ce Championnat de France. L'an dernier, aux Pieux (Manche), elle avait obtenu le titre en contre-la-montre mais tactiquement ça avait été compliqué sur la course en ligne. Elle avait été esseulée. Cette année, elle avait une équipe forte avec elle. Pendant deux tours, nous avons été dans le pétrin alors heureusement qu'il y avait les équipières pour l'aider.
« DE PLUS EN PLUS DE MAL A M' ACCROCHER »
Nous savons que Juliette a encore une belle marge de progression. Elle travaille avec un Powertap. Elle a aussi dans les parages Anthony Bouillod et Flavien Soenen, qui sont des très bons techniciens. Nous voyons son potentiel. Je suis un entraîneur de terrain, je vois son évolution par rapport à moi (sourires). J'ai de plus en plus de mal à m'accrocher dans les côtes ! La différence ente elle et les autres, c'est la rigueur qu'elle met dans son travail. Elle a une forte envie de bien faire. Cela en plus de toutes les qualités physiques dont elle dispose. »
« Je connais Juliette depuis quatre ans. C'était à la fin de sa saison de Minime 2. Elle avait un an d'avance à l'école donc elle est rentrée au Pôle Espoirs de Besançon en étant Cadette 1ère année. Nous sommes un duo qui marche très bien... On se déteste autant qu'on s'apprécie ! C'est une grande aventure que nous vivons car elle est une grande championne. J'ai la chance de pouvoir la suivre au quotidien. Elle profite de l'expérience d'autres athlètes qui sont passées par le Pôle Espoirs comme Caroline Mani. Elle lui a apporté beaucoup, tout comme Julie Bresset.
« UN CAP DE FRANCHI »
Juliette a franchi un cap cette année. Elle a remporté la manche de la Coupe des Nations la plus difficile, en juin dernier, à Albstadt (Allemagne). Nous avons sorti les grands moyens pour ce Championnat de France. L'an dernier, aux Pieux (Manche), elle avait obtenu le titre en contre-la-montre mais tactiquement ça avait été compliqué sur la course en ligne. Elle avait été esseulée. Cette année, elle avait une équipe forte avec elle. Pendant deux tours, nous avons été dans le pétrin alors heureusement qu'il y avait les équipières pour l'aider.
« DE PLUS EN PLUS DE MAL A M' ACCROCHER »
Nous savons que Juliette a encore une belle marge de progression. Elle travaille avec un Powertap. Elle a aussi dans les parages Anthony Bouillod et Flavien Soenen, qui sont des très bons techniciens. Nous voyons son potentiel. Je suis un entraîneur de terrain, je vois son évolution par rapport à moi (sourires). J'ai de plus en plus de mal à m'accrocher dans les côtes ! La différence ente elle et les autres, c'est la rigueur qu'elle met dans son travail. Elle a une forte envie de bien faire. Cela en plus de toutes les qualités physiques dont elle dispose. »
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