Valentin Madouas a tenté pour le plaisir
Crédit photo Freddy Guérin - DirectVelo
Sorti dans le final en compagnie de Rudy Molard (Cofidis), Valentin Madouas (Equipe de France Espoirs) a été repris ce jeudi à deux kilomètres de l'arrivée de la 2e étape du Tour de l'Ain (2.1). Le Champion de France Amateur, licencié au BIC 2000, a répondu aux questions de DirectVelo.
DirectVelo : Avais-tu prémédité ton attaque ?
Valentin Madouas : J'ai tenté pour le plaisir. Je n'avais rien programmé. Il y a un moment de flottement. Rudy Molard (Cofidis) a attaqué. Nous étions quatre coureurs de l'Equipe de France plutôt bien placés. J'y suis allé. Les autres ont fait la cassure derrière moi. Il restait alors six kilomètres. Tout le monde imaginait une arrivée massive alors personne d'autre n'a tenté. Il y avait un fort vent de dos, cela aurait peut-être pu marcher si nous avions tenté à plusieurs. . Malheureusement, nous n'allons pas au bout mais ce n'est pas grave !
Tu t'es imaginé gagner cette étape ?
Je savais que cela allait être difficile d'aller au bout mais je me suis tout de même dit pourquoi pas... Des sprinteurs avaient "reculé" suite à la bosse de Cessiat. Le temps qu'ils retrouvent leurs équipiers, on avait peut-être moyen de prendre de l'avance. Mais je n'y ai jamais cru.
« JE ME SENTAIS TRES BIEN »
Cela doit faire du bien au moral ?
On se dit qu'on est proche de la gagne même si je savais très bien que j'allais me faire reprendre. Il est toujours plaisant d'être à l'avant. Je me sentais très bien aujourd'hui. La bosse de Cessiat s'est montée rapidement, tout le monde était à fond, moi y compris. Demain (vendredi), nous aurons une journée différente. Les difficultés seront plus longues.
Que peux-tu espérer ?
Tout dépendra du déroulement de la course. Plus il y aura tempo, plus cela m'avantagera. Mais si le rythme est rapide, j'aurais rapidement un rôle d'équipier pour David (Gaudu) et Léo (Vincent). Ils avaient l'air bien aujourd'hui.
DirectVelo : Avais-tu prémédité ton attaque ?
Valentin Madouas : J'ai tenté pour le plaisir. Je n'avais rien programmé. Il y a un moment de flottement. Rudy Molard (Cofidis) a attaqué. Nous étions quatre coureurs de l'Equipe de France plutôt bien placés. J'y suis allé. Les autres ont fait la cassure derrière moi. Il restait alors six kilomètres. Tout le monde imaginait une arrivée massive alors personne d'autre n'a tenté. Il y avait un fort vent de dos, cela aurait peut-être pu marcher si nous avions tenté à plusieurs. . Malheureusement, nous n'allons pas au bout mais ce n'est pas grave !
Tu t'es imaginé gagner cette étape ?
Je savais que cela allait être difficile d'aller au bout mais je me suis tout de même dit pourquoi pas... Des sprinteurs avaient "reculé" suite à la bosse de Cessiat. Le temps qu'ils retrouvent leurs équipiers, on avait peut-être moyen de prendre de l'avance. Mais je n'y ai jamais cru.
« JE ME SENTAIS TRES BIEN »
Cela doit faire du bien au moral ?
On se dit qu'on est proche de la gagne même si je savais très bien que j'allais me faire reprendre. Il est toujours plaisant d'être à l'avant. Je me sentais très bien aujourd'hui. La bosse de Cessiat s'est montée rapidement, tout le monde était à fond, moi y compris. Demain (vendredi), nous aurons une journée différente. Les difficultés seront plus longues.
Que peux-tu espérer ?
Tout dépendra du déroulement de la course. Plus il y aura tempo, plus cela m'avantagera. Mais si le rythme est rapide, j'aurais rapidement un rôle d'équipier pour David (Gaudu) et Léo (Vincent). Ils avaient l'air bien aujourd'hui.
En savoir plus : coureurs et équipes associés
Coureurs
