Lucas Grall : « Respecter le travail des gros bras »
Crédit photo Marjorie Menut
L'Equipe de France Juniors, représentée par six coureurs du Limousin (lire ici), a bien débuté ce mardi au Canada lors de la première étape du Tour de l'Abitibi (Coupe des Nations). Au sprint massif, Lucas Grall est allé chercher la 4e place. Le sociétaire de Creuse Oxygène Guéret, partagé sur sa performance, a répondu aux questions de DirectVelo.
DirectVelo : Comment s'est déroulé ton sprint ?
Lucas Grall : Le sprint a été super houleux. J'ai réussi à me faufiler dans les derniers virages qui étaient dangereux. Je me retrouve bien placé pour faire un joli sprint. Clément (Betouigt-Suire) lance de loin et malheureusement je me retrouve bloqué dans les barrières par un Canadien. Du coup, j'ai mis un petit coup de frein. Il m'a manqué 200 mètres pour réussir à monter sur le podium.
Que t'inspire ta 4e place ?
Je suis super heureux de faire une telle place à ce niveau-là mais en même temps je suis hyper frustré de ne pas être sur le podium. Mais peut-être que cela viendra...J'étais plutôt bien tout au long de l'étape malgré la vitesse rapide. Au début d'étape, j'étais un peu bloqué car j'ai participé la veille au Challenge Sprint mais cela est passé au fil des kilomètres.
« DU STRESS ET DE LA FIERTE »
Dans quel état d'esprit étais-tu au départ ?
Chacun était impressionné devant les autres nations. Il y avait un sentiment de stress et de fierté. Personnellement, j'étais confiant. Je me suis dit que quelque chose pouvait être envisageable y compris à ce niveau-là. J'avais très envie de bien faire.
Qu'est-ce que cela fait de porter le maillot de l'Equipe de France ?
C'est fou ! C'est la première fois que je roule à ce niveau-là. Je suis très impressionné par cette course. Je suis très fier de porter ce maillot tricolore. C'est un rêve qui se réalise. Je n'y crois toujours pas. En plus la France est en tête du classement de la Coupe des Nations alors nous espérons et ferons tout pour la garder à ce niveau afin de respecter le travail effectué par les "gros bras" de cette équipe tout à long de la saison. Et aussi pour montrer que même si nous ne sommes pas les têtes d'affiches françaises nous pouvons réaliser quelque chose à l'étranger.
DirectVelo : Comment s'est déroulé ton sprint ?
Lucas Grall : Le sprint a été super houleux. J'ai réussi à me faufiler dans les derniers virages qui étaient dangereux. Je me retrouve bien placé pour faire un joli sprint. Clément (Betouigt-Suire) lance de loin et malheureusement je me retrouve bloqué dans les barrières par un Canadien. Du coup, j'ai mis un petit coup de frein. Il m'a manqué 200 mètres pour réussir à monter sur le podium.
Que t'inspire ta 4e place ?
Je suis super heureux de faire une telle place à ce niveau-là mais en même temps je suis hyper frustré de ne pas être sur le podium. Mais peut-être que cela viendra...J'étais plutôt bien tout au long de l'étape malgré la vitesse rapide. Au début d'étape, j'étais un peu bloqué car j'ai participé la veille au Challenge Sprint mais cela est passé au fil des kilomètres.
« DU STRESS ET DE LA FIERTE »
Dans quel état d'esprit étais-tu au départ ?
Chacun était impressionné devant les autres nations. Il y avait un sentiment de stress et de fierté. Personnellement, j'étais confiant. Je me suis dit que quelque chose pouvait être envisageable y compris à ce niveau-là. J'avais très envie de bien faire.
Qu'est-ce que cela fait de porter le maillot de l'Equipe de France ?
C'est fou ! C'est la première fois que je roule à ce niveau-là. Je suis très impressionné par cette course. Je suis très fier de porter ce maillot tricolore. C'est un rêve qui se réalise. Je n'y crois toujours pas. En plus la France est en tête du classement de la Coupe des Nations alors nous espérons et ferons tout pour la garder à ce niveau afin de respecter le travail effectué par les "gros bras" de cette équipe tout à long de la saison. Et aussi pour montrer que même si nous ne sommes pas les têtes d'affiches françaises nous pouvons réaliser quelque chose à l'étranger.
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