Jimmy Turgis : « Etre plus entreprenant »
Crédit photo Kim Caritoux
Jimmy Turgis a entamé sa troisième saison professionnelle avec de l’ambition. Pour la première année, il se consacre uniquement au cyclisme (lire ici). A l’aise dès les premières courses, il avait décidé de se ménager pour profiter d’un regain de forme au printemps. "Je voulais arriver avec plus de fraîcheur pour la période des courses à étape. Je pensais avoir mon pic de forme au mois de mai malheureusement j’ai été plutôt moyen", explique-t-il à DirectVelo.
« TOUJOURS ENVIE D’ETRE PERFORMANT »
"En revoyant mes plans d’entrainement, je m’aperçois que j’ai négligé les phases de récupération. C’est ce qui m’a sans doute coûté en mai. Après la fatigue étant là, c’est plus compliqué de faire de très bons entraînements", analyse Jimmy Turgis. A cette constatation, ce sont ajoutés le décès de Daan Myngheer et les blessures qui ont obligé les coureurs de Roubaix Métropole Européenne de Lille à enchaîner les courses. "Nous avons un beau programme de course et, on a toujours envie d’être performant. Ce n’est pas facile mais il faut pourtant apprendre à se reposer pour repartir avec de la fraîcheur".
A 25 ans, et diplômé d’un Master Sport, expertise, performance de haut-niveau, il a vite rectifié le tir avant d’entamer la deuxième partie de la saison. "C’est une période importante avec les Championnats de France qui approchent. C’est un objectif pour tous les coureurs en plus le circuit est annoncé difficile donc c’est motivant pour moi. A condition d’être en bonne forme pour se faire plaisir".
« EN SAVOIE, LES ETAPES POUR PUNCHEUR SONT DANS MES CORDES »
Après plusieurs Top 10, il manque encore un cran à l’aîné de la fratrie Turgis pour s’approcher de la gagne quand il ne travaille pas pour ses leaders, sprinteurs ou grimpeurs. "Je me pose parfois trop de questions. En tout cas c’est ce que me disent les gens qui me connaissent. Par exemple, Anthony ou Tanguy (ses frères) n’hésitent pas. Ils appuient sur les pédales et ça marche. Même si je suis le grand frère, j’écoute les conseils, sourit-il. Il faut que je sois plus entreprenant".
Ce jeudi, il prendra le départ du Tour de Savoie Mont-Blanc, avec l’ambition d’aider Julien Antomarchi dans sa quête d’un bon classement général. "Les cols seront peut-être un peu long pour moi mais il y a des étapes pour puncheur et des opportunités à saisir, prévient-il. C’est une belle course du calendrier. C’est un parcours magnifique avec des routes que l’on connait et c’est toujours sympa de repasser par ces cols. C’est l’idéal pour terminer ce gros bloc avant Vesoul. En juillet, ce sera plus calme, cette fois je ferai une bonne coupure avant de revenir pour la dernière partie de la saison !".
« TOUJOURS ENVIE D’ETRE PERFORMANT »
"En revoyant mes plans d’entrainement, je m’aperçois que j’ai négligé les phases de récupération. C’est ce qui m’a sans doute coûté en mai. Après la fatigue étant là, c’est plus compliqué de faire de très bons entraînements", analyse Jimmy Turgis. A cette constatation, ce sont ajoutés le décès de Daan Myngheer et les blessures qui ont obligé les coureurs de Roubaix Métropole Européenne de Lille à enchaîner les courses. "Nous avons un beau programme de course et, on a toujours envie d’être performant. Ce n’est pas facile mais il faut pourtant apprendre à se reposer pour repartir avec de la fraîcheur".
A 25 ans, et diplômé d’un Master Sport, expertise, performance de haut-niveau, il a vite rectifié le tir avant d’entamer la deuxième partie de la saison. "C’est une période importante avec les Championnats de France qui approchent. C’est un objectif pour tous les coureurs en plus le circuit est annoncé difficile donc c’est motivant pour moi. A condition d’être en bonne forme pour se faire plaisir".
« EN SAVOIE, LES ETAPES POUR PUNCHEUR SONT DANS MES CORDES »
Après plusieurs Top 10, il manque encore un cran à l’aîné de la fratrie Turgis pour s’approcher de la gagne quand il ne travaille pas pour ses leaders, sprinteurs ou grimpeurs. "Je me pose parfois trop de questions. En tout cas c’est ce que me disent les gens qui me connaissent. Par exemple, Anthony ou Tanguy (ses frères) n’hésitent pas. Ils appuient sur les pédales et ça marche. Même si je suis le grand frère, j’écoute les conseils, sourit-il. Il faut que je sois plus entreprenant".
Ce jeudi, il prendra le départ du Tour de Savoie Mont-Blanc, avec l’ambition d’aider Julien Antomarchi dans sa quête d’un bon classement général. "Les cols seront peut-être un peu long pour moi mais il y a des étapes pour puncheur et des opportunités à saisir, prévient-il. C’est une belle course du calendrier. C’est un parcours magnifique avec des routes que l’on connait et c’est toujours sympa de repasser par ces cols. C’est l’idéal pour terminer ce gros bloc avant Vesoul. En juillet, ce sera plus calme, cette fois je ferai une bonne coupure avant de revenir pour la dernière partie de la saison !".
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