Tour de Mareuil-Verteillac-Ribérac - Et. 3 : Les réactions

Rémi Cavagna (Auvergne) a remporté, comme l'an dernier, la 3e étape du Tour de Mareuil-Verteillac-Ribérac (Challenge National Epoirs), un contre-la-montre individuel de 13,6 kilomètres disputé autour de Sainte-Croix-de-Mareuil (Dordogne). Il devance ce dimanche matin son coéquipier Maxime Roger et Antoine Leplingard (Pays de la Loire). Ce dernier s'empare de la tunique blanche de leader du classement général.Retrouvez ci-dessous les réactions recueillies par DirectVelo.com.
 
Rémi Cavagna (Auvergne)
Vainqueur de la 3e étape
« J’étais venu sur cette épreuve avec le général en tête parce que le contre-la-montre, ça ne suffit pas. Je me suis un peu loupé sur la première étape, je n’étais pas devant. Je savais que sur le chrono je pouvais grappiller quelques secondes, ce que j’ai fait. Je suis remonté au général, je pense que ça me permettra de me qualifier pour les France. Une victoire ça fait toujours plaisir, surtout sur Mareuil. C’est un contre-la-montre que j’affectionne. Je pense avoir fait un bon chrono dans l’ensemble. »
 
Antoine Leplingard (Pays de la Loire)
Nouveau leader du Tour des Cantons de Mareuil-Verteillac-Ribérac
« J’avais perdu le maillot sur l’Essor Breton donc j’espère que cette fois je vais réussir à le garder. Ce matin je me suis appliqué à être vraiment régulier, il n’y a pas un moment où j’en ai mis plus que d’autres. Même dans la descente, je me concentrais pour bien gérer mon effort. D’après mon directeur sportif j’ai fait un énorme final. J’étais sur le "54-11" et je tournais les jambes à fond ! J’étais surmotivé pour aller chercher le maillot et pourquoi pas la victoire d’étape. 3e c’est bien, surtout au vu du plateau. L’étape de cet après-midi est très dure. Comme sur la première et la deuxième étape ça va se jouer à la pédale et au moral. L’année dernière on devait défendre le maillot de Thomas Boudat. On avait tout donné pour essayer de le conserver et il avait réussi à le garder donc j’espère que cet après-midi ce sera encore le cas ! Je me méfie surtout des gars qui étaient dans l’échappé le premier jour, ils sont très costauds. »

Crédit photo : Cédric Congourdeau - www.directvelo.com
 

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