CIC - Mont Ventoux : Les réactions

Crédit photo Nicolas Mabyle - DirectVelo

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Lenny Martinez (Groupama-FDJ) a remporté, ce mardi, la cinquième édition du CIC Mont Ventoux (1.Pro), disputée entre Vaison-la-Romaine et le Mont Ventoux sur une distance de 98,3 kilomètres. Il a devancé au sprint Michael Woods (Israel-Premier Tech) et Simon Carr (EF Education-EasyPost). Lenny Martinez succède au Portugais Ruben Guerreiro au palmarès de l'épreuve (voir classement).

Retrouvez ci-dessous les réactions recueillies par DirectVelo.

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Portrait de Clément CHAMPOUSSIN

5e

« Ça me paraissait un peu compliqué d'enchainer car le Dauphiné était vraiment dur, mais ça s'est plutôt bien passé finalement. Il y avait une ascension de moins donc ça a quand même changé la difficulté de la course. Je préférais qu'il y ait cette montée de moins, comme beaucoup ! Mais c'était difficile à la fin, ça a bien bataillé. J'étais mal placé au Chalet, j'ai eu du mal à revenir mais j'ai bien fini. Cristian (Rodriguez) fait 4 et moi 5, on marque pas mal de points UCI, c'est le principal.

Le début n'était pas très compliqué non plus, c'est pour ça qu'il y avait encore du monde. Le vent était de face, c'était compliqué de faire un effort seul, ça a pas mal arrêté la course mais ça restait quand même difficile. Par rapport à la Mercan'Tour Classic où je n'étais pas super, j'ai fait deux courses correctes, c'est encourageant pour la suite. »

Portrait de Valentin PARET-PEINTRE

8e

« J'aurais préféré les deux ascensions, ou alors qu'une seule mais par Bédoin. Ce n'était pas assez raide pour moi. Jusqu'au Chalet, on est monté à 27-28 km/h. Les poids un peu plus lourds étaient avantagés. Après, c'était les vrais pourcentages difficiles donc ça a fait le ménage.

J'ai fait un bon Giro, avec de bonnes sensations. Je suis motivé pour cette semaine, entre le Ventoux et la Route d'Occitanie. Je veux aller chercher des résultats. C'est la fin d'un cycle mais je ne suis pas en bout de course. Mentalement le Giro m'a apporté beaucoup de confiance, j'ai vu que j'étais capable d'être proche de très bons coureurs dans la montagne. Sur des courses comme ça, en Classe 1 par exemple, je dois être capable de jouer devant avec les meilleurs, dans les dix premiers comme je l'ai fait aujourd'hui. C'est vers ça que je veux aller avant d'espérer marcher en WorldTour.

J'ai déjà bien marché à l'Occitanie. Il y aura une première étape piégeuse avec le vent et une belle arrivée au sommet le troisième jour. Ça peut me convenir. Si j'ai la même forme qu'ici, je peux me rapprocher du Top 10. Ce sera l'objectif. »

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